En Belgique, 1 adulte sur 2 souffrant du diabète n’est pas diagnostiqué et donc pas soigné. Avec pour conséquence une attaque lente d’organes essentiels : pieds, yeux, vaisseaux sanguins, cœur et cerveau. Le dépistage du diabète est donc important pour éviter des complications.

L’hyperglycémie lors de l’admission à l’hôpital est un prédicteur de l’évolution du patient infecté par le Covid-19 d’un état non critique vers un état grave.

Si le COVID-19 est contracté, le diabète apparait comme un facteur de risque d’évolution vers des formes sévères et critiques. Les conseils à suivre impérativement par ces patients.

Les diabétiques de moins de 35 ans ont un risque 9x plus élevé de décéder d’un arrêt cardiaque par rapport aux non diabétiques indique une récente étude danoise. Une surveillance cardiaque de ces patients est une nécessité.

Les patients diabétiques n’ont pas plus de risque d’être infectés par le COVID-19.Cependant le diabète est un facteur de gravité en cas d’infection. Ces patients doivent donc respecter scrupuleusement les gestes barrière et un bon équilibre glycémique.

Durant la crise du Covid-19, les patients souffrant de maladies chroniques doivent poursuivre leur traitement et aller aux consultations prévues. Tout y est prévu pour assurer une sécurité optimale.

Les patients souffrant du diabète (type 1 ou type 2) sont plus vulnérables aux maladies infectieuses comme le coronavirus Covid-19 et à leurs complications.

Ce test ne remplace en aucun cas le diagnostic établi par le médecin. Pour toute question : Parlez-en rapidement à votre médecin.

Le foie est un organe méconnu. On en parle souvent comme à l’occasion de l’opération « Tournée minérale » (un mois sans alcool) lancée par la Fondation contre le Cancer. On connait trop peu ses multiples actions sur la digestion, sur le cerveau, sur les os. Le foie nous nourrit et nous détoxifie.

Un repas trop riche ou trop arrosé durant les Fêtes et voilà le brûlant qui apparait. Le reflux gatro-oesophagien est un phénomène désagréable mais très courant. Cette maladie doit être prise au sérieux. surtout après 50 ans. Quelques mesures diététiques permettent de prévenir le problème.

Le 14 novembre, la Journée Internationale du Diabète sera l’occasion de rappeler que cette maladie concerne chaque famille : enfants, adultes et seniors.1 personne sur 2 souffrant de diabète n’est pas diagnostiquée à temps ce qui rend le traitement plus difficile et augmente le risque de complication. Connaitre les signes d’un début de diabète

Avec les jours plus courts, une météo humide et le stress du quotidien, notre immunité va être mise à rude épreuve dans les prochains mois. Heureusement, il existe des super-aliments qui boostent naturellement nos énergies et renforcent nos barrières immunitaires. Petit tour d’horizon.

En Belgique, l’alcool est la 4ième cause de maladie et de mortalité chez les personnes de plus de 15 ans. Le Conseil Supérieur de la santé (CSS) vient de publier ses recommandations pour une consommation raisonnable d’alcool : dix unités d’alcool hebdomadaires réparties sur la semaine avec des journées sans alcool.

Les ados de 12-18 ans consomment trop de médocs sur prescription. C’est le constat d’une étude publiée par Les Mutualités Libres. 30% des ados ont pris un antibiotique en 2016 pendant 23 jours en moyenne. Viennent ensuite les anti-inflammatoires non stéroïdiens comme l’ibuprofène (19%) et les antiallergiques (9,6%). La tendance est de médicaliser les difficultés de l’existence pendant l’adolescence. Pour réduire la consommation de médocs.

De nombreuses personnes développent un diabète de type 2 sans s’en rendre compte. Différents facteurs peuvent attirer l’attention : hérédité, signaux d’alerte, analyses ( sang et urine). Plus vite le diabète est diagnostiqué, mieux il sera traité.